L’Icam : un acteur important pour la formation d’ingénieurs
L’Icam est né de l’ambition de deux entrepreneurs du Nord de la France, Camille Féron-Vrau et Philibert Vrau, qui souhaitaient former des ingénieurs aptes à placer le développement de l’économie et de l’entreprise au service de l’homme, et non l’inverse. Créé par des chefs d’entreprise et développé par les Jésuites, l’Icam a conservé de cette histoire spécifique une véritable dimension humaniste, qui sous-tend l’ensemble de sa démarche pédagogique : le développement personnel et la solidarité ont la même importance que les connaissances scientifiques et techniques.
En développement constant depuis sa création, et spécifiquement depuis ces vingt dernières années, l’Icam dispose de 5 sites en France (Lille, Nantes, Toulouse, La Roche-sur-Yon, Vannes) et maintenant de 4 à l’étranger (Douala et Pointe-Noire en Afrique Centrale, Gliwice en Pologne, Chennai en Inde). L’Icam a constitué une offre multiforme pour la formation d’ingénieurs : formation initiale d’ingénieurs en cycle intégré, formation d’ingénieurs par la voie de l’apprentissage mais aussi formation d’ingénieurs en formation continue.
L’Icam diplôme chaque année en moyenne autour de 500 ingénieurs dont près de la moitié par la voie de l’apprentissage. Ces chiffres situent l’Icam parmi les plus importantes écoles d’ingénieurs françaises.
L’Icam propose également des mastères spécialisés.
En complément de ce pôle Enseignement Supérieur, l’Icam a également développé de nombreuses formations professionnelles. Au sein de ses établissements, aux côtés des ingénieurs en devenir, l’Icam forme des jeunes et des adultes en situation d’échec, qui renouent avec la réussite scolaire en BEP/CAP ou dans le cadre des Ecoles de production. Ces Ecoles sont des ateliers, qui offrent la possibilité d’apprendre et d’exercer un métier manuel, tout en avançant vers l’obtention d’un diplôme. L’Icam s’est lancé le défi “1 pour 1” : pour chaque ingénieur diplômé chaque année, l’Icam forme un jeune ou un adulte en difficulté.
