Entretien avec Christian Guet, directeur adjoint des RH du Groupe Lagardère
Pourquoi le Groupe Lagardère s'associe-t-il à un événement tel que le Challenge des Grandes écoles et Universités ?
Nous soutenons le Challenge depuis ses débuts. Il a tout de suite parfaitement correspondu à ce que nous recherchions, à savoir un événement de large audience et convivial nous permettant de dialoguer avec les jeunes. Plutôt que d’être présents sur les forums étudiants, nous privilégions ce type de manifestation, qui nous offre la possibilité de communiquer sur ce qu’est le groupe Lagardère et sur ce que sont nos métiers. Enfin, l’athlétisme est un sport intéressant, à la fois collectif et individuel, qui rassemble et unit, au-delà des âges, des grades, des origines et des métiers. Cette façon de communiquer dans la convivialité et l’esprit sportif fait la force de cet événement et correspond à ce que nous sommes.
Quels efforts sont faits par Lagardère en matière de recrutement des jeunes diplômés ?
Pour ce qui est des forums étudiants, nous ne ressentons pas le besoin d’y être représentés : question de priorité. Nous avons cette chance fabuleuse de bénéficier déjà par avance d’une forte notoriété. Le nom de Lagardère attire les jeunes. Nous menons une politique volontariste pour les accueillir en stage ou sous forme de contrat d’apprentissage, pour les accompagner dans leur parcours étudiant.
Quels sont les profils de jeunes étudiants recherchés ?
Nous sommes toujours en recherche de profils marketing, commerciaux et de gestion.
Quels avantages présente le groupe pour un jeune diplômé ?
Nous bénéficions d’une image jeune et dynamique, qui se retrouve dans l’ambiance de travail. Nous avons également une politique de décentralisation forte et des lignes d’organisation courtes, qui permettent à nos salariés de disposer d’un large champ d’action. Une grande marge de manœuvre laissée dès le démarrage de carrière est toujours satisfaisante et offre la possibilité de se construire dès le départ une solide carrière.
Propos recueillis par Régis Delanoë